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Les 3 plantes carnivores les plus courantes
Les plantes carnivores sont des végétaux qui ne cessent de fasciner de plus en plus de personnes chaque année. Avec plus de 600 espèces différentes : nous vous présentons trois des plus courantes ci-dessous.
Les Dionées
Son piège
La Dionée est certainement la plante carnivore la plus connue et sans doute l’une des plus impressionnantes. Celle que l’on appelle également « l’attrape-mouche » est en effet dotée d’une sorte de mâchoire qu’elle referme sur ses proies au moment voulu.
Ses besoins
La Dionée est relativement facile à cultiver en extérieur. Ceux et celles qui souhaitent la garder en intérieur toute l’année devront veiller à lui proposer des températures plus fraîches en hiver (moins de 15°C).
Les Droseras
Il en existe plus d’une centaine d’espèces différentes !
Son piège
Il se présente sous la forme de gouttelettes de glue situées au bout des poils qui recouvrent la plante. Attirés par la brillance de ces gouttes, les insectes s’y retrouvent finalement englués.
Ses besoins
La Drosera a des besoins relativement simples à satisfaire, à condition de choisir une espèce de climat tempéré et non de climat subtropical. Il est possible de la garder à l’intérieur toute l’année, la Drosera n’ayant pas forcément besoin d’un repos hivernal. A noter cependant qu’en fonction de l’espèce choisie, des températures hivernales plus fraîches favorisent la floraison.
Les Sarracenias
Son piège
Ses feuilles se présentent sous la forme de tubes (autrement appelés « urnes ») dans lesquels sont piégés les insectes.
Ses besoins
Appelée la « trompette de la mort » de par sa forme caractéristique, la Sarracenia aime la lumière et le soleil. Il est donc nécessaire de lui proposer un environnement suffisamment lumineux toute l’année. On note néanmoins le besoin de saisons marquées. Il est donc préférable, dans le cadre d’une culture à l’intérieur, de lui proposer des températures plus basses en hiver (sous 15°C).
Dans certains cas, les tubes des Sarracenias peuvent avoir tendance à pencher et nécessitent l’utilisation de tuteurs. L’entretien est quant à lui sommaire : les feuilles mortes doivent être retirées à la fin de l’automne ou au début du printemps.
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